Vous trouverez ici les formulaires d’adhésion et de prélèvement en pièces jointes. Vous pouvez nous les faire parvenir :
- bulletin d’adhésion et autorisation de prélèvement
- par mél cgt-culture@culture.gouv.fr ou par voie postale : CGT-Culture Trésorerie 61 rue de Richelieu 75002 Paris
Soyons acteurs de notre avenir !
Nous avons en nous la force et la capacité de peser sur le cours des choses.
Ensemble pour un vrai progrès et du bonheur !
Pour un ministère fort, répondant aux exigences de notre temps qui appellent une plus grande démocratie culturelle, luttons pour améliorer les conditions de travail, pour travailler autrement et plus efficacement, anticipons les évolutions des métiers, défendons l’emploi attaqué dans notre ministère comme ailleurs, le pouvoir d’achat, la protection sociale et la retraite, luttons pour le service public menacé par la politique gouvernementale de privatisation, d’austérité et de démission.
Il n’est pas de raccourcis faciles, on ne peut fuir la réalité, il faut s’y confronter. Ce n’est jamais le moment de refuser d’agir pour se replier sur soi et faire le gros dos sous l’orage. Il est, au contraire, plus que jamais nécessaire de reprendre confiance et courage pour lutter d’une manière organisée et collective afin de modifier partout le rapport de forces.
A tous les niveaux, en ayant conscience que si nous ne défendons pas nos droits, si nous ne prenons pas en charge nous-mêmes nos intérêts pour le présent et pour l’avenir, cela restera l’apanage et le privilège d’autres qui poursuivront dans les mêmes voies que celles que nous avons connues ces dernières années et dont nous avons mesuré le caractère toxique au quotidien et en termes d’orientation des politiques publiques.
Pourquoi se syndiquer ?
Les Français seraient fâchés avec les syndicats et ceux-ci n’auraient pas bonne presse. Et pour cause : les médias, qui à de rares exceptions sont dans les mains de milliardaires et/ou de riches industriels (Bolloré, Pinault, Lagardère, Drahi, Saadé, Niel, Rothschild etc.) ne brillent pas par leur indépendance et leur objectivité. Comment s’étonner alors qu’ils distillent à longueur de temps des messages hostiles aux organisations syndicales et à leurs militants. Car s’ils sont loin d’être exempts de toute critique, les syndicats n’en demeurent pas moins des empêcheurs de tourner en rond, des pôles de résistance, et des contre-pouvoirs qui dérangent nécessairement.
Que chacun y regarde de plus près, sans loupe déformante de la pensée dominante.
A la différence des politiques, les syndicats regroupent des personnes comme vous et nous, issus de votre milieu professionnel, qui sont à vos côtés et partagent vos difficultés au quotidien.
Ce qui motive celles et ceux qui s’engagent dans les instances représentatives, qui portent les revendications collectives et font de leur mieux pour défendre leurs collègues, ce n’est rien d’autre que des idées et des valeurs de justice sociale.
L’immense majorité des syndiqués, des élus et représentants du personnel ne font pas métier de leur militantisme.
Car se syndiquer c’est d’abord s’intéresser à soi-même et au destin de son entreprise ou administration, savoir comment cela « marche » (ou pas), quels sont les projets de transformation réels ou cachés, prendre part aux décisions qui impliquent l’ensemble de la communauté de travail, réfléchir à ce qui vient « d’en haut », en étudier les rouages, faire des liens avec ce qui se joue ailleurs (gouvernements, Europe, monde), et s’ouvrir aussi à des analyses alternatives de ce monde en mutation dans les domaines économique, écologique, éducatif, culturel, sociétal.
Mais plus encore, c’est expérimenter une solidarité, réaliser à quel point la force provient d’une fraternité d’entraide, que l’on n’est rien tout seul, que l’on doit beaucoup à ceux présents ou qui nous ont précédés, parfois au sacrifice de leur vie, qu’ensemble nous pouvons inclure nos propositions et œuvrer pour un monde plus juste.
C’est militer pour soi autant que pour autrui, résister à la contamination de l’individualisme. C’est aider et défendre l’individu pris dans l’opposition irréductible des intérêts de castes ou de pouvoir. C’est se respecter et faire respecter ce que nous sommes, petits certes, mais grands par la dignité et le nombre. C’est enfin lutter contre l’inhibition, le sentiment d’impuissance, devenir acteur, à sa mesure mais être acteur enfin !
Les puissants n’hésitent pas, ils ont leurs syndicats et ne se privent pas d’être solidaires entre eux.
Les mois et années à venir seront ainsi synonymes de progrès humains à tous égards. Il est temps de nous engager pour que notre destin commun ne nous échappe pas. Vous pouvez aussi prendre part à cette aventure humaine et fraternelle. Les syndicats sont ce que vous en faites. Ils sont à votre image et leur force, leur légitimité sont à l’aune de votre intérêt et de votre implication.
La CGT-Culture
La CGT-Culture, c’est la force et l’union de 10 syndicats sectoriels : archéologie ; archives ; monuments historiques ; musées et domaines ; écoles d’architecture ; écoles d’art ; Bibliothèque nationale de France ; mobilier et manufacture nationales ; services déconcentrés ; administrations centrales :
- S.A.F.-C.G.T. : Syndicat des Archives de France
- C.G.T.-BnF : Syndicat de la Bibliothèque Nationale de France
- S.E.M.M.-C.G.T : Syndicat des Établissements du Mobilier national et des Manufactures nationales
- S.G.P.A.-C.G.T : Syndicat Général des Personnels du service public de l’Archéologie
- S.N.E.A.-C.G.T. : Syndicat National des Écoles d’Architecture
- S.N.M.D.-C.G.T. : Syndicat National des Musées et Domaines
- S.N.M.H.-C.G.T. : Syndicat National des Monuments Historiques
- S.N.S.D.-CGT : Syndicat National des Services Déconcentrés
- L.É.N.A.-CGT: Les Écoles Nationales supérieures d’Arts
- S.G.A.C -C.G.T : Syndicat Général des Affaires Culturelles
Pourquoi adhérer à la CGT-Culture ?
Pour s’unir et fraterniser !
Notre raison d’être, c’est la défense et l’amélioration de nos conditions d’existence professionnelle par nous-mêmes. La CGT, depuis sa fondation il y a 120 ans, a conquis des avancées sociales essentielles (congés payés, protection sociale, code du travail…).
Se syndiquer, c’est non seulement se donner les moyens de préserver ce qui a été gagné par nos débats et combats, mais encore d’obtenir pour vous de nouvelles avancées sociales, et, surtout, d’avoir le pouvoir de choisir ensemble nos destins professionnels et culturels.
C’est aussi trouver un espace d’échanges fraternels, rencontrer la diversité des hommes et des femmes, recharger nos énergies et combattre la violence, les discriminations, les inégalités.
Pour être attentif aux autres, participer et développer des forces communes.
À la La CGT-Culture, la démocratie l’emporte : nous décidons collectivement de nos orientations. Nous offrons à chacun d’être au cœur de la vie syndicale, de participer à ses orientations, au choix des combats à mener et d’y exercer des responsabilités.
Venez débattre avec notre collectif régulièrement lors de nos réunions de sections !
La vie fraternelle a un sens et l’ambition de faire front commun. Mais notre pouvoir de convictions et d’actions ne prend sa force que par la participation responsable du plus grand nombre.
Nous avons besoin de votre enthousiasme et de votre solidarité. Nous tirons notre force du tous ensemble. Les enjeux sont trop lourds de conséquences pour que vous ne soyez pas complètement investis dans la politique sociale et culturelle : ce que nous vous offrons.
Pour se former
Au sein de la CGT-Culture, de nombreux types et niveaux de formation, générale ou spécifique vous seront proposés pour que vous disposiez des meilleurs moyens d’agir. La formation syndicale est un droit pour les syndiqués : vous disposez de 12 jours de formation par an.
Vous apprenez à connaître l’autre, à révéler les situations critiques, à les transmettre et à en débattre, à comprendre les dessous du fonctionnement de l’administration, à anticiper les crises et à s’approprier l’outil syndical.
Pour mieux s’informer
Vous pouvez suivre l’actualité de la CGT-Culture aussi :
– sur le site : https://www.cgt-culture.fr/
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La cotisation
Versée régulièrement, elle matérialise notre appartenance à la CGT et constitue un élément vital au financement de l’activité des syndicats et sections de la CGT-Culture, et, en particulier, celle de votre section. Cette participation garantit notre indépendance.
Elle est fixée à 1% du salaire net (primes comprises et avant prélèvement de l’impôt sur le revenu). Elle est déductible à 66% du montant de l’impôt sur le revenu ou le cas échéant un crédit d’impôt. (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1).
La CGT-Culture fournit un justificatif de versement de votre cotisation syndicale pour l’année fiscale.