L’ambition déclarée de « mieux accueillir le public » est remisée au profit de privatisations de prestige… sans frais de personnel. La Culture n’est ici rien d’autre que l’alibi, la caution et le vernis de l’industrie du luxe : le reste n’est que déclarations vertueuses creuses sur « l’offre qualitative » culturelle, la « démocratisation », etc.