Les inspecteurs de l’IGAC sont clairs, en mars 2013 : « Un mode de management systématiquement fondé sur la sollicitation des agents, y compris des cadres les plus proches de la direction générale, pour relever les défis de délais et sur l’adhésion sans cesse renouvelée à des projets impulsés par la direction générale comporte, à terme, des risques de fragilisation de l’ensemble de l’organisation. Il convient de veiller aux conséquences d’un risque de « surchauffe » […] sur la soutenabilité par l’ensemble du personnel, y compris de l’encadrement. » La direction générale n’a pas donné de suites concrètes à cette alerte, bien au contraire. (Lire le communiqué joint)